suite, a ce programmes, par dirrigeable par thales aérospace et par drone via BAE system
quel avenir pour l'espace, via son fond de commerce des sattélites si tout ceux-ci peuvent-être remplacé par ces systèmes bien plus simple et moins cher à mettre en place ?
Avenir radieux, une constellation américaine en activité fournissant un paquet de services pour tout le monde (presque), pour les scientifiques, pour l'activité économique et pour les militaires.
Une russe et une chinoise en développement, une indienne en projet pour ne pas dépendre d'un censeur imprévisible.
Le dirigeable tiendrait plus longtemps en l'air s'il pouvait survoler sans les risques de ses confrères ballon libre scientifiques, les pays paranoïaques.
si tout ceux-ci peuvent-être remplacé par ces systèmes bien plus simple et moins cher à mettre en place ?
Mouais... L'idée "plus simple et moins cher à mettre en place" n'est pas pour le moment bien démontrée!
L'atmosphère est, disons, "pas sympa", comparé au quasi-vide dans lequel se meuvent les satellites. L'effet pour les ballons est que soit leurs déplacements sont peu prévisibles, soit ils doivent avoir un moyen de propulsion à bord. C'est le point d'entrée de la problématique, et plus on plonge dans les conséquences, plus l'idée de "simple" s'affaiblit.
-> c'est donc un dirigeable qui peut rester géostationnaire pendant 1 an (!) à 20 km d'altitude en luttant contre les vents stratosphériques. Un toit de cellules photovoltaïque est orienté vers le soleil par rotation du corps de l'engin.
Oui, Stratobus est un exemple de projet basé sur l'idée "propulsion à bord" assurant la stationnarité, ce qui, évidemment soulève, la question de la source d'énergie.
L'idée des panneaux solaires est tentante, mais... Mais il faut assurer la propulsion en continu (voir la vitesse des vents à 20 km d'altitude...), et donc gérer la nuit. D'où nécessité d'un stockage jour/nuit. Et cela demande de la masse, donc du volume pour la sustentation.
Et la propulsion doit être dimensionnée pour les pointes de vitesse du vent (sinon le ballon se barre et faut le faire revenir! et rupture du service...).
Un autre aspect est la surface couverte au sol. Pour des services "surfaciques", un satellite a une bien plus grande couverture qu'un ballon à 20 km, et donc le nombre de ballons nécessaire pour de tels services est bien plus grand que le nombre de satellites. C'est multiplicatif en terme de coûts, que ce soit initiaux ou opérationnels.
Bref, pas mal de compromis à étudier avant de pouvoir conclure que c'est "plus simple et moins cher" que d'autres solutions.
Bonjour,
Oui oui on est d'accord Amanuensis, je laisse à oxycryo la responsabilité du titre, j'amenais juste du concret avec une autre source que le magazine Futura (mais pas si concret que ça vu qu'on n'en est toujours pas à un vol en grandeur réelle pour un projet démarré en 2016). D'ailleurs le Stratobus est réputé sur le papier pouvoir lutter contre des vents à 90 km/h, mais wikipedia sur la stratosphère me dit que ça peut y souffler à 220 km/h:
Quelque chose m'échappe ? Ou alors ce dirigeable sera condamné à stationner dans la stratosphère la plus "facile" de ce point de vue, qui est au-dessus des régions équatoriales si je comprends bien ? Ce qui serait gênant car à 20km de hauteur seulement (ce qui est un avantage pour la latence en télécom par rapport aux satellite LEO), la taille de la "cellule" (toujours pour causer télécom) ne doit pas dépasser une poignée de centaines de km de diamètre.
Suffit d'attendre.....les "effets" d'annonçe..parfois ça fait plouf !
Le moteur thermique rotatif devait révolutionner. (x...années de passées.)..il est passé ou !
A+